Ni trop haut, ni trop bas

Trop bas, c'est un marécage. Trop haut, c'est tout plaqué.
Entre les deux, ça doit passer.


Les stigmates de la mousson de la veille sont encore visible, mais ce serait sans compter sur le refroidissement nocturne qui a recouvert la misère d'une belle couche de poudre.


On joue a saute-chalets, un jeu très répandu en Beaufortain. Cath baptise son matos tout neuf, on sent que noël est passé par là.


Comme prévu, plus on monte et plus c'est bon. Les nuages se déchirent, mais deviennent un tantinet taquins dés lors que nos peaux sont rangées dans le sac.


Pffffiut. Direction le feu de cheminée.

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